Chercheure, Ph. D.
450 653-7368
poste 363
Chercheur, Ph. D.
450 653-7368
poste 321
Des lâchers de trichogrammes à l’aide de trichocartes sont utilisés au Québec pour lutter avec succès contre la pyrale du maïs que l’on retrouve dans le maïs sucré frais. Le secteur du maïs sucré de transformation souhaite utiliser des trichogrammes contre la pyrale du maïs à la condition que la méthode de lâcher concorde avec leurs réalités techniques et économiques. En 2019 et 2020, quatre sites en Montérégie seront utilisés pour effectuer des lâchers expérimentaux par avion. Sur chaque site, une parcelle témoin (sans lâcher de trichogrammes) servira à évaluer la pression de la pyrale. Sur l’autre, un avion relâchera une pulvérisation d’œufs parasités par des trichogrammes au stade de pupes. Ces travaux comprendront des suivis de la pyrale du maïs et des évaluations de la qualité des trichogrammes relâchés et des dommages à la récolte. Une analyse économique comparant les stratégies de lutte contre la pyrale du maïs (pulvérisations aériennes d’insecticides et utilisation de trichocartes) complètera cette étude.
De 2019 à 2021
Durée du projet
Production maraîchère
Secteurs d'activité
Pesticides et lutte aux nuisances
Service
Le jour où l'épandage aérien de pesticides laissera sa place aux lâchers de petites bestioles dévastatrices pour les ravageurs des récoltes n'est pas si loin.
Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Anatis Bioprotection | Bonduelle | Fédération québécoise des producteurs de fruits et légumes de transformation | Hélico Service
Ce projet vise à concevoir un outil de transfert des connaissances sur la répression des mauvaises herbes en production maraîchère biologique.
Chercheure : Maryse Leblanc
Modifier l’architecture du système cultural est le moyen retenu pour améliorer l’efficacité d’utilisation de l’eau dans la production de pommes de terre et, par conséquent, diminuer le risque que la culture subisse un stress hydrique.
Chercheurs : Carl Boivin Luc Belzile
La biofumigation pourrait être une avenue intéressante pour augmenter la mortalité des graines en dormance en agriculture biologique.
Chercheure : Maryse Leblanc