Depuis 2003, la cécidomyie du chou-fleur est devenue le principal ravageur des crucifères au Québec. Sa présence pendant toute la saison de croissance, ses dommages difficiles à détecter et son comportement cryptique qui la protège des insecticides rendent la lutte contre cet insecte très difficile. Les producteurs biologiques utilisent des filets anti-insectes dont les coûts opérationnels sont élevés. Ces constats indiquent qu’il devient impératif de développer des options pour obtenir une bonne répression de ce ravageur.
En production conventionnelle, certaines situations nécessitent le recours à plusieurs pulvérisations d’insecticides. Les exigences des consommateurs pour des produits exempts de pesticides, combinées aux risques pour la santé et l’environnement qui sont associés à l’utilisation des insecticides exercent une pression importante pour que d’autres méthodes de lutte à moindres risques soient utilisées.
De 2017 à 2018
Durée du projet
Production maraîchère
Secteurs d'activité
Pesticides et lutte aux nuisances
Service
Comparativement à l’application d’insecticides, cette méthode diminuera les risques pour la santé humaine et pour l’environnement.
Université du Vermont | Université de Guelph
Ce projet permettra d’élaborer des grilles de fertilisation en azote, phosphore et potassium adéquates et adaptées aux conditions de culture de la betterave au Québec.
Chercheure : Christine Landry
Le champignon pathogène Helminthosporium solani cause la tache argentée qui est difficile à détecter dans les sols et sur les tubercules récoltés.
Chercheur : Richard Hogue
Évaluation du potentiel de l'utilisation de drones pour optimiser les lâchers de trichogrammes contre la pyrale du maïs dans le maïs sucré de transformation au Québec.