Chercheur, Ph. D.
418 643-2380
poste 420
Les balais de sorcière sont un problème récurrent dans la culture du bleuet en corymbe. Aucune bleuetière n’y échappe. Ils étaient particulièrement abondants en 2016. Toutefois, au Québec, la maladie n’a jamais été détectée sur les balais eux-mêmes. Les balais demeurent un symptôme seulement. Selon la littérature, la maladie serait causée par un champignon de la famille des rouilles. Les rouilles ont la particularité de compléter leur cycle de vie en passant par deux hôtes distincts. Dans le cas de la rouille balais de sorcière, les deux hôtes seraient le bleuet en corymbe et le sapin baumier. Chez le sapin baumier, la maladie cause une rouille d’aiguilles. Les spores sont fréquemment observées en juillet, mais le début et la fin de la période de sporulation n’ont pas fait l’objet d’observations spécifiques au Québec. La rouille balais de sorcière entraine des pertes économiques chez ses deux hôtes. Le projet vise à déterminer si le symptôme de balais de sorcière, observable sur le bleuetier, est vraiment causé par la rouille Pucciniastrum geopertianum qui sévit sur le sapin baumier.
2016
Durée du projet
Production fruitière
Secteurs d'activité
Pesticides et lutte aux nuisances
Service
Grâce à ce projet, les producteurs subiront moins de pertes économiques causées par les balais de sorcière, un problème qui affecte toutes les bleuetières.
Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Appui au développement de l'agriculture et de l'agroalimentaire en région (PADAAR)
La cécidomyie du pommier (CDP), Dasineura mali (Kieffer), est un nouvel ennemi du pommier au Québec. Ce projet permettra de connaître la phénologie de ce ravageur, d’établir un seuil d’intervention évolutif et d’intégrer ces résultats au sein d’un modèle phénologique dans CIPRA.
Chercheur : Daniel Cormier
Projet de diminution de l’utilisation des insecticides chimiques dans les vergers en luttant contre la mouche de la pomme grâce à un piégeage massif.
Chercheur : Daniel Cormier
Ce projet vise principalement à évaluer une technique de détection bactérienne mise au point en Autriche qui consiste à quantifier l’inoculum transporté par les abeilles.
Chercheur : Vincent Philion