Un premier volet vise à sélectionner une espèce de légumineuse cultivée en intercalaire dans des parcelles de brocolis implantées à la Plateforme d’innovation en agriculture biologique. Cette légumineuse sera choisie en tenant compte de sa contribution à réprimer les ennemis des cultures, principalement les insectes et les mauvaises herbes, et à favoriser l’activité des ennemis naturels, particulièrement les parasitoïdes des chenilles nuisibles aux crucifères et les carabes. Dans un deuxième temps, des parcelles de brocolis incluant l’intercalaire choisie et du brocoli seul seront implantées. Différentes régies seront utilisées pour minimiser la compétition avec la culture principale. Des analyses de sol permettront de connaître certains aspects de la qualité des sols en lien avec l’utilisation d’une intercalaire de légumineuse. Une étude technico-économique inclura des seuils de rentabilité calculés en termes de rendements supplémentaires à obtenir pour récupérer les coûts d'approvisionnement et des opérations culturales associés à l'utilisation de légumineuses en intercalaires.
De 2015 à 2019
Durée du projet
Production maraîchère
Secteurs d'activité
Pesticides et lutte aux nuisances, Agriculture biologique
Services
Les résultats de ce projet contribueront à combattre les ennemis des cultures en régie biologique.
Cultivons l'avenir II | Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Programme Innov'Action | Agriculture et Agroalimentaire Canada | Club Bio-Action | Pleine-Terre | Coopérative des agriculteurs de proximité écologique
Ce projet vérifie le potentiel d’un mélange de plantes à fleurs pour favoriser les ennemis naturels des chenilles des crucifères.
Ce projet vise à évaluer des stratégies de lutte contre la teigne du poireau qui soient efficaces et économiquement rentables tout en étant respectueuses de la santé humaine et de celle des écosystèmes.
Une série de produits au pouvoir désherbant prometteur seront testés à la jonction des plastiques et du sol sur une flore présente naturellement au champ.
Chercheure : Maryse Leblanc