Chercheur, agr., Ph. D.
450 653-7368
poste 340
Une méthode de lutte attracticide a récemment été proposée par des chercheurs américains pour la lutte au charançon de la prune, mais, en raison d'un manque d'adaptation aux différents types de production (conventionnelle, biologique, haute densité, etc.), elle est quasi-inutilisée en vergers, voire inconnue au Québec. Comme pour les autres types de lutte attracticide actuellement disponibles en production pomicole (ex. contre le carpocapse et la mouche de la pomme), la lutte attracticide au charançon de la prune nécessite de combiner un attractif avec une très faible quantité d'un pesticide efficace. Elle peut aussi facilement être adaptée à la production biologique par le choix judicieux du pesticide en question.
De 2015 à 2017
Durée du projet
Production fruitière
Secteurs d'activité
Pesticides et lutte aux nuisances, Agriculture biologique
Services
La lutte attracticide au charançon de la prune peut aussi être utilisée en production biologique.
Cultivons l'avenir II | Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Programme Innov'Action | Agriculture et Agroalimentaire Canada | Ferme Haut-Vallon | Anatis Bioprotection
Présentation • Mikaël Larose, Gérald Chouinard, Francine Pelletier
Larose, M., G. Chouinard, F. Pelletier. 2017. « Lutte attracticide au charançon de la prune dans les vergers du Québec ». Présentation donnée dans le cadre des Journées annuelles sur la recherche et l'innovation technologique 2017. IRDA. 33 pages. TéléchargerLes résultats de ce projet proposeront des outils pour soutenir les producteurs et assurer la compétitivité et le développement du secteur de la production du bleuet sauvage certifié « Bleuets sauvages Boréals » et biologique, deux créneaux propres au Québec.
Chercheur : Carl Boivin
L’objectif de ce projet est d’évaluer l’efficacité de HARVANTA® 50SL pour lutter contre l'anthonome des atocas, la tordeuse des canneberges et la pyrale des atocas.
Chercheure : Annabelle Firlej
Ce projet consiste à stériliser des drosophiles à ailes tachetées en laboratoire et à les relâcher massivement dans les cultures comme moyen de lutte contre les populations indigènes.
Chercheure : Annabelle Firlej