Chercheure, agr., Ph. D.
Une première expérience consiste à évaluer le potentiel désherbant d’une série de produits (inscrits dans le MIB (Manuel d'intrants biologiques), herbicides en développement ou huiles ayant une avenue biologique) à une dose unique afin de pouvoir faire un tamisage et rejeter dès cette étape les produits qui ne fonctionnent pas. Les produits sont appliqués sur deux mauvaises herbes (Chenopodium album et Echinochloa crus-galli) au stade 2 feuilles. Dans une 2e expérience, les produits retenus dans la 1ère expérience sont testés à différentes doses sur les mêmes espèces aux mêmes stades afin de déterminer leur dose optimum. Les huiles retenues sont aussi mélangées à un savon liquide neutre biologique pour vérifier s’il existe un effet synergique avec le savon qui permettrait de réduire la quantité d’huile. Dans une 3e expérience en champ, les produits les plus prometteurs sont testés directement à la jonction des plastiques et du sol sur une flore présente naturellement au champ.
De 2015 à 2016
Durée du projet
Production maraîchère
Secteurs d'activité
Pesticides et lutte aux nuisances, Agriculture biologique
Services
Ce projet permettra de proposer des produits désherbants prometteurs aux producteurs biologiques.
Cultivons l'avenir II | Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Agriculture et Agroalimentaire Canada | AEF-Global
Ce projet vise à mesurer, dans des conditions commerciales, l’impact de la régie d’irrigation sur le prélèvement de l’azote par les plants ainsi que l’azote disponible dans le sol.
Chercheure : Christine Landry
Le projet propose de développer des techniques et des outils pour favoriser le maintien de paillis de papier tout au long de la période de croissance.
Chercheur : Carl Boivin
Le projet vise à tester si les souches commerciales importées aux semis de la carotte nantaise parviennent à compétitionner les souches indigènes du sol pour coloniser la plante hôte et si, une fois la symbiose établie, celle-ci parvient à faire mieux que celle établie par les populations indigènes, dans un sol en transition biologique.
Chercheure : Christine Landry