Chercheure, agr., Ph. D.
450 653-7368
poste 310
Cette étude a intégré trois facteurs établis dans un dispositif en split-split-plot, soit le mode de travail du sol, les cultures de rotation en agriculture biologique et l’apport de fumier ou de compost. Le facteur principal était le mode de travail du sol, soit le labour conventionnel et le travail réduit avec la herse à disques offset. Le facteur secondaire étudié consistait en huit différentes cultures de rotation. Le troisième facteur étudié était l’apport de fumier de bovins et de compost Biosol à raison de 20 t/ha, comparé au témoin (0 t/ha) sans engrais organique.
De 2014 à 2017
Durée du projet
Production maraîchère, Grandes cultures
Secteurs d'activité
Santé des sols, Gestion des matières fertilisantes, Agriculture biologique
Services
Les modes de fertilisation qui se sont démarqués pendant ce projet augmenteront la rentabilité des cultures biologiques.
Innov'Action | Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Agriculture et Agroalimentaire Canada
Un apport en carbone labile déménagerait une quantité de phosphore vers la solution du sol, le rendant de nouveau disponible pour l'assimilation par les plantes en croissance.
Chercheure : Christine Landry
Le présent projet souhaite conjuguer l’efficacité du goutte-à-goutte et du « fractionnement multiple de l’azote » afin de diminuer la dose totale d’azote apportée par unité de pomme de terre produite et d’offrir des alternatives économiques et environnementales avantageuses à la régie usuelle.
Chercheur : Carl Boivin
Des travaux seront entrepris pour mieux comprendre les interactions entre la polyculture et les haies en utilisant la faune entomologique associée aux cultures de crucifères.