Chercheur, Ph. D.
450 653-7368
poste 360
Chercheur, agr., Ph. D.
450 653-7368
poste 340
Bien que plusieurs sources d’information et outils existent pour permettre aux conseillers d’acquérir les connaissances et l’expertise nécessaire à leurs fonctions, plusieurs lacunes existent au niveau des connaissances intégrées disponibles dans le contexte pomicole québécois.
L’accompagnement des nouvelles ressources est assumé par les conseillers d’expérience et aucun outil intégré n’est disponible pour leur faciliter la tâche et structurer un transfert de connaissances et d’expertise efficace. Le projet mettra à profit les outils et les connaissances déjà disponibles pour les nouveaux conseillers. Pour les thèmes jugés prioritaires, de nouveaux contenus d’apprentissage seront également produits (vidéos, matériel de cours, évaluations, textes, etc.).
À terme, cette plateforme de formation en ligne permettra d’assurer un accompagnement de qualité aux producteurs de pommes du Québec en accélérant la mise à niveau des nouveaux conseillers.
De 2017 à 2018
Durée du projet
Production fruitière
Secteurs d'activité
Cette plateforme de diffusion sera un précieux outil pour partager les dernières avancées en pomiculture avec les producteurs et les conseillers.
Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Quebec Reference Center for Agriculture and Agri-food
Ce projet permettra d’élaborer une grille révisée de fertilisation en N, P et K pour les fraises cultivées au Québec.
Chercheure : Christine Landry
Une méthode de lutte attracticide a récemment été proposée par des chercheurs américains pour la lutte au charançon de la prune, mais elle est quasi-inutilisée en vergers, voire inconnue au Québec.
Chercheur : Gérald Chouinard
Il a été démontré que la lutte par exclusion peut permettre de combattre efficacement la quasi-totalité des ravageurs des pommes. Bien que le microsystème étudié au Québec depuis 2012 ait démontré son efficacité contre les insectes, plusieurs éléments problématiques restent à étudier avant qu’il puisse être recommandé à grande échelle.
Chercheur : Mikaël Larose