Chercheur, Ph. D.
418 643-2380
poste 420
Les principaux paramètres utilisés pour déterminer la santé des sols et la durabilité des agroécosystèmes sont agronomiques, environnementaux, physico-chimiques et biologiques. Les paramètres biologiques actuellement utilisés sont toutefois trop peu discriminants. Les récents progrès des techniques d’analyses biologiques et génomiques rendent abordable la caractérisation structurale et fonctionnelle détaillée de plusieurs communautés biologiques qui jouent des rôles essentiels pour la santé des sols et la durabilité des agroécosystèmes. Le projet propose d’identifier et d’intégrer des indicateurs biologiques aux outils d’aide à la décision adoptés par les filières agricoles afin de soutenir les producteurs et les organismes réglementaires en agroenvironnement désireux de conserver la santé et la productivité des sols et de les cultiver selon des systèmes de production durable. Ce projet constitue une innovation majeure dans l’amélioration de nos connaissances sur les facteurs perturbateurs des régies et des pratiques agricoles dans les sols de grandes cultures au Québec.
De 2016 à 2018
Durée du projet
Grandes cultures
Secteurs d'activité
Santé des sols
Service
Le séquençage d'ADN détecte tous les organismes présents dans un sol.
Centre de recherche sur les grains | Université Laval | Agriculture et Agroalimentaire Canada | Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Cultivons l’avenir 2 : programme Innov’Action volet 1
Le projet CarTéCoS vise à développer une méthode automatisée d’évaluation par télédétection du pourcentage de couverture des sols par des résidus de culture et les cultures de couverture.
Chercheur : Simon Ricard
Ce projet propose d’intervenir dans un système cultural typique de la pomme de terre afin de favoriser la valorisation de l’eau et de l’azote par cette culture.
Chercheur : Carl Boivin
Du canola et du blé (rotation blé-maïs-canola) ont été semés en 2016 et 2017 sur 12 parcelles expérimentales comportant le travail du sol en parcelles principales (travail réduit et chisel) et le mode de fertilisation (engrais minéraux, 25 m3/ha de lisier et 50 m3/ha de lisier) en sous-parcelles.
Chercheurs : Caroline Côté Marc-Olivier Gasser