Chercheure
450 653-7368
poste 320
La technique du binage entre les rangs est un incontournable en agriculture biologique. Cependant, il est moins habituel au Québec d’avoir recours au binage pour les cultures en rangs étroits. Le développement d’une stratégie de répression des mauvaises herbes dans les cultures à rangs étroits, en complément aux passages précoces de la houe rotative et de la herse étrille, permettrait une intervention plus tardive dans le cycle de la culture ainsi qu’une répression plus agressive des mauvaises herbes plus développées.
En rangs très étroits, l’utilisation d’un système de guidage (ex. par caméra ou GPS) pourrait permettre une meilleure précision à des vitesses plus élevées. Le binage de cultures en rangs étroits fera l’objet d’une étude incluant quatre expériences effectuées sur trois cultures, soit le haricot, le petit pois et le soya. L’expérimentation se déroulera sur une période de trois ans à la Plateforme d’innovation en agriculture biologique de Saint-Bruno-de-Montarville.
De 2019 à 2023
Durée du projet
Grandes cultures, Production maraîchère
Secteurs d'activité
Pesticides et lutte aux nuisances, Agriculture biologique
Services
L'IRDA contribue à ce que le désherbage mécanique soit une alternative rentable à l'utilisation des herbicides.
Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec
Ce projet visait à intégrer les connaissances scientifiques actuelles afin de développer un outil de prévision à référence spatiale des exportations diffuses de sédiments, d’azote et de phosphore, applicable à l’échelle de la ferme et du bassin versant.
Chercheur : Aubert Michaud
Le but de ce projet était de développer des techniques afin de contrôler efficacement le niveau de la nappe d’eau dans des bassins de culture de sphaigne. Pour y arriver, des systèmes d’irrigation souterraine ont été mis en place sur différents sites expérimentaux.
Chercheur : Stéphane Godbout
Analyse économique du potentiel des bandes fleuries comme réservoir de différentes espèces de pucerons sensibles à P. neoaphidis autour des champs de soya.
Chercheur : Luc Belzile