Chercheure
418 643-2380
poste 640
La culture du concombre est une activité économique importante dans plusieurs régions du Québec. Cette dernière représente 840 ha de production. Les grilles de fertilisation présentées dans le Guide de fertilisation ne sont pas actuelles pour ce type de production. En effet, les doses de P et de K sont très élevées et une réévaluation est de mise afin d’actualiser ces doses en fonction des conditions de culture actuelles. La demande importante du concombre en eau favorise la combinaison de l’irrigation avec la fertilisation. La fertigation permet de fractionner l’apport d’engrais et d’appliquer l’engrais à un endroit précis (près du système racinaire) tout en favorisant l’utilisation de l’engrais par la plante en étant en solution. Les essais en fertigation sont peu nombreux au Québec et il est nécessaire de les effectuer afin d’établir l’utilisation appropriée de la méthode et d’établir les doses à appliquer.
Ainsi, ce projet vise à déterminer les doses en K (5 doses) à mettre avant la plantation dans le concombre sous plastique fertigué en azote.
De 2017 à 2018
Durée du projet
Production maraîchère
Secteurs d'activité
Gestion optimale de l'eau, Gestion des matières fertilisantes
Services
Ce projet permettra d'établir les bonnes doses de fertilisants nécessaires à la culture du concombre.
Ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Pêcheries du Québec | PleineTerre
Le présent projet souhaite conjuguer l’efficacité du goutte-à-goutte et du « fractionnement multiple de l’azote » afin de diminuer la dose totale d’azote apportée par unité de pomme de terre produite et d’offrir des alternatives économiques et environnementales avantageuses à la régie usuelle.
Chercheur : Carl Boivin
Ce projet vise à créer des partenariats entre producteurs et à intégrer une culture fourragère pendant trois ans dans des champs de pommes de terre et de grandes cultures afin de contrer la dégradation de la qualité des sols tout en facilitant des ententes pour la commercialisation de foin.
Chercheur : Richard Hogue
Ce projet permettra de quantifier la sévérité à long terme (60+ ans) de l’érosion des sols organiques.
Chercheurs : Claude Bernard Marc-Olivier Gasser