Chercheur, ing., Ph. D.
418 643-2380
poste 601
Chercheur, ing., agr., Ph. D.
418 643-2380
poste 600
Cette initiative s'inscrit dans un projet d'envergure qui s'intéresse aux risques posés par l'épandage des fumiers sur la biosécurité des élevages, sur la santé humaine des travailleurs et des populations avoisinantes, ainsi qu'aux émissions dans l'environnement. Cette phase s’attarde à l'impact des épandages actuels sur la biosécurité des élevages alors que l’ensemble du projet couvrira beaucoup plus d'éléments et conduira au développement de nouvelles stratégies et de nouveaux équipements d'épandage.
Considérant la nature des contaminants présents dans le lisier à l'épandage (bioaérosols, poussières, odeurs, etc.), l'équipe de recherche prétend qu'il y a un risque considérable pour la santé animale lors de l'épandage sur les terres agricoles. De plus, ses membres croient qu'il est possible de limiter la propagation de maladies dans les élevages et d'améliorer les protocoles de biosécurité à l'aide d'une meilleure connaissance des émissions et de l’adaptation des techniques d'épandage en conséquence.
Afin d'évaluer et de réduire les risques sur la biosécurité des élevages en raison de l'épandage de lisier de porc, le projet vise spécifiquement à :
De 2020 à 2023
Durée du projet
Production animale
Secteurs d'activité
Cohabitation en milieu agricole, Qualité de l'air, Bien-être animal
Services
Ces travaux contribueront à l'amélioration des équipements d'épandage.
Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec | Université Laval
L’entreposage du lisier est une source importante de méthane, un puissant gaz à effet de serre. L'objectif principal de ce projet est de démontrer la performance à long terme d'un biofiltre.
Évaluation de l’exposition aux poussières et aux bioaérosols des producteurs d’œufs de poules pondeuses dans des logements classiques et alternatifs et de caractériser subséquemment le risque pour la santé respiratoire.
Chercheur : Stéphane Godbout
Ce projet se veut une occasion de démontrer que les efforts déployés par les producteurs pour mieux répartir le phosphore sur le territoire portent fruit et que les indicateurs utilisés pour déterminer les seuils de saturation en phosphore ont un lien avec le bilan et la dynamique du phosphore apporté dans les sols.
Chercheur : Marc-Olivier Gasser