Chercheur, Ph. D.
418 643-2380
poste 420
Les grandes cultures (maïs grain et soya) au Québec couvrent plus de 800 000 hectares, représentent une des grandes sources de revenus agricoles, mais sont aussi responsables du principal usage d’herbicides à base de glyphosate (HBG). Maintenir de hauts rendements tout en réduisant drastiquement l’usage des HBG dans les grandes cultures est d’une importance stratégique pour garder ce secteur prospère et durable.
Ce projet de l’IRDA vise à évaluer l’impact de l’application de divers taux de glyphosate dans des systèmes de grandes cultures sur le microbiome des sols et des rhizosphères des cultures. Le projet IRDA permettra de réaliser un des volets d’un plus vaste projet interdisciplinaire dirigé par le Dr Marc Lucotte de l’UQAM. Ce projet financé par le CRSNG vise à établir un portrait global de l’usage massif des HBG dans différents systèmes de grandes cultures conventionnels ou qui intègrent un système de couverture végétale permanente nécessitant peu d’applications de HBG. Les échantillons dont les microbiomes seront analysés seront prélevés en champ dans deux zones climatiques du Québec et dans des parcelles expérimentales du partenaire SCV Agrologie.
De 2017 à 2021
Durée du projet
Grandes cultures
Secteurs d'activité
Santé des sols
Service
La participation de l'IRDA à ce projet permettra de réduire l'usage des herbicides à base de glyphosate.
Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada | Université du Québec à Montréal | SCV Agrologie
Le but de ce projet était de développer des techniques afin de contrôler efficacement le niveau de la nappe d’eau dans des bassins de culture de sphaigne. Pour y arriver, des systèmes d’irrigation souterraine ont été mis en place sur différents sites expérimentaux.
Chercheur : Stéphane Godbout
Ce projet a pour objectif de mieux comprendre l’évolution et la variabilité spatiale des indicateurs de santé des sols sous l’effet des changements climatiques.
Chercheurs : Marc-Olivier Gasser Claude Bernard
Ce projet a permis d’évaluer l’effet de différents modes de fertilisation du maïs, du soya et du blé sur les rendements commercialisables, la qualité des récoltes et les pertes de nitrates et de microorganismes potentiellement pathogènes pour l’humain l’environnement.
Chercheure : Caroline Côté