Chercheur, ing., agr., Ph. D.
418 643-2380
poste 600
Le contrôle des débits de ventilation est généralement basé uniquement sur la température ambiante, alors que d'autres facteurs comme l'humidité et la vitesse de l'air ont aussi un impact important sur le confort de l'animal. La divergence entre la performance des systèmes de ventilation en place et les besoins des animaux peut donc être importante. C'est pour cette raison qu'il est nécessaire de repenser et d'améliorer la stratégie de contrôle d'ambiance en production porcine.
Ce projet propose d'ajouter des mesures de l'humidité relative et de la vitesse d'air au niveau du porc et d'intégrer ces paramètres au contrôle de la ventilation. Il sera alors possible d'établir la température effective réellement ressentie par les animaux et de moduler le système de ventilation (débit d'air et ouverture de l'entrée d'air) de manière à améliorer le bien-être des porcs. Les essais seront réalisés dans les deux salles d'élevage de l'IRDA qui permettent d'héberger des animaux dans des conditions entièrement contrôlées, tout en étant représentatives des bâtiments commerciaux.
De 2019 à 2021
Durée du projet
Production animale
Secteurs d'activité
Bien-être animal
Service
L'ajout de paramètres offrira la possibilité de régler la ventilation en fonction des besoins réels des animaux.
Centre de développement du porc du Québec | Maximus | Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation
Le but du projet est de démontrer que les bâtiments porcins de nouvelle génération, avec plancher latté au 2/3 ou plus de la superficie dégagent moins d’odeurs.
Chercheur : Stéphane Godbout
Analyse économique d'un projet visant à mesurer la quantité optimale d’orge nue pouvant remplacer une partie du maïs-grain dans une ration alimentaire pour les vaches laitières sans affecter la production de lait et ses composantes.
Chercheur : Luc Belzile
Ce projet se veut une occasion de démontrer que les efforts déployés par les producteurs pour mieux répartir le phosphore sur le territoire portent fruit et que les indicateurs utilisés pour déterminer les seuils de saturation en phosphore ont un lien avec le bilan et la dynamique du phosphore apporté dans les sols.
Chercheur : Marc-Olivier Gasser