Chercheur, Ph. D.
418 643-2380
poste 420
Le champignon pathogène Helminthosporium solani cause la tache argentée qui est difficile à détecter dans les sols et sur les tubercules récoltés. Cette maladie réduit les rendements et détériore l’apparence des tubercules, particulièrement à la suite de la période d’entreposage des récoltes. Les stratégies de mise en marché des pommes de terre pour le marché frais misent sur les emballages plastiques où l’apparence des pommes de terre joue un rôle prépondérant. La réduction des pertes repose donc prioritairement sur l’emploi de tests de détection quantitative sensibles, précis et abordables. Des tests PCR quantitatifs (qPCR) appliqués à des échantillons de sols ou des tubercules permettront de déterminer des seuils d’infection au-delà desquels le risque de pertes économiques à la plantation ou à la suite de l’entreposage est trop grand. Ces modèles novateurs de quantification et d'estimation du risque économique de la transmission sont un facteur clé pour le maintien et l’accroissement de la compétitivité des entreprises de pommes de terre du Québec.
De 2016 à 2017
Durée du projet
Production maraîchère
Secteurs d'activité
Pesticides et lutte aux nuisances, Salubrité et innocuité des aliments
Services
Ce modèle novateur de quantification et d'estimation contribuera à l’accroissement de la compétitivité des entreprises de pommes de terre du Québec.
Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec | Cultivons l’avenir 2 | Groupe Pousse-Vert | Phytodata | ProgesT2001
Mise au point d'une méthode de surveillance et de contrôle des agents pathogènes telluriques de la pomme de terre qui considère les interactions entre les agents pathogènes et les autres organismes du microbiome du sol.
Chercheurs : Richard Hogue Luc Belzile
Il existe un grand besoin de tester l’usage d’engrais verts comme source principale d'azote en culture de pommes de terre, lesquels contribuent aussi au maintien de la qualité des sols et à la lutte aux mauvaises herbes.
Chercheure : Christine Landry
Ce projet valide l'utilisation d'intercalaires de légumineuses pour lutter contre les ennemis en cultures maraîchères (insectes, maladies et mauvaises herbes) tout en assurant une amélioration de la productivité et de la qualité des sols ainsi qu'une rentabilité économique.
Chercheure : Annabelle Firlej